FILS DE LA NATION (Mémoire)
MÉMOIRE
Fils de la Nation
par
JEAN-MARIE LE PEN
Jean-Marie Le Pen, "Fils de la
Nation", constitue le titre des mémoires du (Co) fondateur du Front
National, célèbre parti politique français. Tiré à plus de 100 000
exemplaires, celui-ci fait (ou a fait) un carton, au point de déranger
certaines personnes, d’une part, mais aussi certains libraires… Quand n’est-il exactement et que contient ce
dernier pour gêner autant. C’est ce que j’ai voulu savoir en acquérant ce
livre.
À bientôt 90 ans, Jean-Marie le Pen revisite
ses souvenirs d’enfance, de sa naissance jusqu’à nos jours [Cf.: tome 2], en passant par la
création du Front National. Cet essai réunit sur près de 450 pages le récit
d’une des personnalités politiques les plus contestés de la moitié du XXe
siècle et du début du XXIe siècle, à travers ses multiples aventures.
Au cours de la lecture, les évènements
tragiques de la seconde guerre mondiale à la libération, ainsi que ceux de la
guerre d’Indochine et d’Algérie nous apprennent un peu plus sur cette personne.
Dans cette autobiographie, il répond, ou tente d’éclaircir les idées de
certains, sans langue de bois. Il apporte des éléments de réponse sur son passé
militaire, et lève le voile – sans faire de mauvais jeux de mot – sur certaines
rumeurs tenaces. Ainsi que sur les machinations politiques ! Où tout est
bon pour déstabiliser ses adversaires !
Tout a était dit, écrit et raconté sur ce
monsieur qui anime tant les passions politiques depuis 50 ans. Mais quand
n’est-il exactement, c’est ce que j’ai voulu savoir en me procurant son livre. Et
bien m’en a pris, car celui-ci mérite d’être lu pour découvrir plus en
profondeur ce personnage de la vie politique française.
Avant de conclure cette note informative de
lecture, je vous livre le résumé tel qu’affiché au dos du livre, ou sur les
sites marchands : Un
nouveau regard sur Le Pen : le sien.
« Mes grands-parents ne savaient pas
lire mais surent donner une vie décente à leurs enfants. Ma paysanne de mère
était élégante et fière, mon père, patron pêcheur taciturne, avait navigué
pendant la Grande guerre, à treize ans, mousse sur un cap-hornier, ces
cathédrales de toile et de bois qui affrontaient les quarantièmes rugissants. A
la maison, il n’y avait pas l'eau courante mais on aimait sa famille, son pays
et Dieu – et la Bretagne aussi, avec ses îles, ses navires. L’instituteur et le
curé nous apprenaient à les chanter ensemble. En somme, j’étais un petit Breton
heureux dans la grande France. Puis vint la Seconde guerre mondiale. Le
père est mort, la France était blessée, des curés m’ont dégoûté de Dieu. C’est
alors que j’ai découvert la folie des hommes, Paris, l’université, l’Indochine,
l’Assemblée nationale, l’Algérie. J’eus une épouse et des filles. La vie
s’offrait, tantôt magnifique, tantôt désolante. Le petit Breton avait grandi,
la France rapetissé. Pour la relever, j’ai choisi le combat politique. »
Ce récit s’interrompt en 1972, et un Tome II
est en cours d’écriture. Personnellement, j’ai apprécié la lecture et le
contenu de ce livre : dont l’écriture participe pleinement dans cette évaluation.
En vieillissant, on a un autre regard et les choses sont vues différemment, maintenant, je comprends mieux cet amoureux de la
France d’avant, et le tempérament de cet homme "politique" ainsi que
le pourquoi du comment ! Cependant, maintenant il est trop tard pour
modifier les choses…
Dans cette note de lecture, je vous livre mes
impressions, qui me sont personnelles, et vous laisse faire votre propre idée.
Si toutefois vous lisez ce dernier.
À
suivre :
Mémoire : tome 2, le tribun d’un peuple ["titre
sous réserve" : sortie autour de septembre 2019.].
Pour
en savoir plus :